Aller à la recherche

Recherche

Votre recherche de reco a donné 8 résultats.

dimanche 27 septembre 2015 22:30

Un site porno cité comme exemple… sur un site grand-public de DuckDuckGo

Article Safe For Work (dont la consultation est convenable au travail ou à l'école) : pas de contenu graphiquement érotique ou sexuel, ni de lien hypertexte fonctionnel vers tel espace Web, mais cela reste le thème de fond de cet article.

Duck Duck Go est un moteur de recherche états-unien axé sur le respect de l'intimité, une start-up qui avec son concurrent Ixquick (Pays-Bas) est l'une des alternatives les plus viables face à Google. C'est aussi un service très "geek" (au sens technophile/nerd), avec un système de raccourci (!bang syntax), de nombreuses fonctions intégrées (calcul mathématique, IP, petites bases de données, etc).

La firme édite plusieurs sites satellites à thématique propre & ciblant un but précis, parmi ceux-ci le dernier en date, mis en ligne en avril 2015 : PrivateBrowsingMyths.com (le site web incriminé dans le présent article), c'est-à-dire "Les Mythes de la Navigation Privée". Il dénonce -à très juste titre- pourquoi les modes dits de "navigation privée" des navigateurs Web (Opera, Firefox...) sont trompeurs, en tout cas dans leur nom. 

Pour faire simple : cettte fonctionnalité ne fait que effacer les traces (historique, cookies...) en local (sur l'ordinateur, et encore attention : uiniquement dans le dossier dédié à ce navigateur), et nulle part ailleurs. Pour les yeux extérieurs (FAI, hébergeurs de sites, éditrice, mouchards publicitaires)... cela ne change rien. Coïncidence ? J'avais écrit un article sur ce thème il y a deux ans et demi.

Ce site Web poursuit un but noble, et est une bonne initative en soi, mais lorsque l'on consulte le site (une seule longue page en fait), on arrive rapidement un exemple gênant.

Lire la suite...

lundi 30 juillet 2012 12:54

Aussi noble ? Pardon ? ! ?

Dans une émission de France Inter ce midi, il était sujet des relations pouvoir-média en France, notamment sur les hommes ou femmes politiques en couple avec une ou un journaliste.

Alors que la discussion s'était portée vers le couple Audrey Pulvar (aux Inrocks) et Arnaud Montenbourg (Ministre au Redressement productif) et que plusieurs intervenants se coupaient la parole, un des intervenants (un homme), lance en substance vers 12h31 :

La politique et le journalisme sont des métiers aussi nobles l'un que l'autre.

Désolé, mais je ne peux pas être d'accord !

La conquête du pouvoir ou le maintien de ses privilèges ne sera jamais une noble cause ! Et même sans parler de cause, c'est une activité corruptrice, tant les influences subies et les tentations offertes sont grandes. Sans parler que pour être élu(e) beaucoup passent par de la connivence, s'accommodent de choses, tentent de séduire par divers moyens, voire mentent ouvertement.

À l'opposé, les journaliste doivent informer factuellement en tout honnêteté, quitte à devoir enquêter, prendre des risques… Et cela sans recouvrir à l'émotion, ils sont aussi toutes et tous contraint-e-s à une charte déontologique… Ça, c'est une activité utile, d'intérêt public, noble !

mardi 14 juin 2011 20:56

Mango, un arrière-gout amer

Cette après-midi j'ai vu passer un lien concernant une entrepreneure déboutée dans son procès contre une multinationale, malgré des arguments apparemment légitimes et solides.

Anne-Cécile COUETIL, créatrice de la marque Velvetine, affirme avoir été condamnée face à la société Mango, géant mondial du textile. La première accuse la seconde d'avoir plagié deux modèles de sac à main, et l'a donc attaqué en Justice pour cela.

Malgré ses dépôts de modèle à l'INPI et des similitudes manifestes entre ses produits et ceux de Mango (voir les visuels sur son blogue, lien ci-avant), son procès pour contrefaçon s'est retourné contre elle. La contrefaçon n'a pas été reconnue ; il n'a pas été non plus prononcé de non-lieu ; elle a été condamnée à payer 6.000 euros au groupe Mango, pour procédure abusive.

Elle est bien sûr très déçue et consternée de cette décision, étant probablement sûre de gagner, ce qui l'avait déterminée à lancer une procédure judiciaire.

Voila pour les faits, pour l'instant. La créatrice entend bien faire appel de la décision, malgré le coût de la procédure d'Appel.

On est clairement en présence d'une situation déséquilibrée, un rapport de forces largement inégal, entre une petite entreprise qui semble avoir raison et une multi-nationale qui a assurément de gros moyens financiers, notamment pour se payer des avocats.

Une histoire qui sonne familière à mes oreilles, étant moi-même asséché par les multiples procédures d'une agence de communication éthique installée à Lille, qui emploie des méthodes surprenantes pour vendre des sites Web.

Liens complémentaires :

Sources : Deedee via Twitter.

- page 1 de 3

Page top