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vendredi 23 octobre 2009 23:57

Opération manipulation par Stéphane Dejonghe ? ! [affaire Ekinoxe Origin]

Édition 27 décembre 2011 : suite à la faillite du 2 novembre 2010, les gérants ont créé de nouvelles boîtes : Darwin distribution (devenue Kimura), Guilbert Consulting, Kreatic... et pas tous seuls : Elody Knox, Damien Poulain, Hélène Coppe, Jérémy Dupet, Caroline Hemelsdael...  y contribuent.

Édition lundi 14 décembre 2009 : la situation semble ne pas s'être améliorée. Ekinoxe Origin continue visiblement les démarchages surprenants et la vente de certains sites à Parfip. Je lance un blogue sur ces agences Web "particulières". Si vous souhaitez témoigner, veuillez plutôt me contacter par ce blogue (celui cité juste avant). Fin de l'édition.


J'ai reçu ce matin un appel de la part de Stéphane Dejonghe, co-dirigeant et commercial chez Ekinoxe Origin. il a bien compris que je suis capable de leur nuire.

Pendant 1h25, nous avons discuté de divers points de l'affaire Ekinoxe Origin. Il a aussi compris que les premières réactions face aux critiques ont été abusives. 

Il m'a livré plusieurs informations qui manquent à notre connaissance (nous les protagonistes réguliers) pour mieux comprendre les critiques. C'est gentil de me les donner, mais il aurait été préférable de les publier plus tôt, en contexte, en répondant personnellement aux critiques, sur le Web. En voici quelques-unes : 

  • Les contrats d'abonnement de site ne sont pas des contrats entre deux partis, ce sont des contrats tripartites : le client, le prestataire, et une société de leasing (crédit-bail) sont liés.
  • Ekinoxe Origin n'exclut pas totalement de laisser le droit à la diffusion du contrat, mais la société de leasing s'y oppose actuellement. 
  • Le contrat révélé sur Memoria Tenera date de plusieurs années, il n'est plus d'actualité. Un nouveau est en cours d'élaboration.

Le nouveau contrat d'abonnement n'arrivera pas avant plusieurs semaines, en raison de sa complexité :

  • il doit être valable pour la France et la Belgique, 
  • il faut nouer un partenariat avec une société de leasing, 
  • il sera même traduit en néerlandais.

Stéphane le reconnaît lui-même, ce contrat est une usine à gaz ! 

Il s'explique sur le choix de la vente par abonnement. Ce mode de facturation est un facilité de payement proposée notamment aux commerçant, artisans et PME. Ces petites entreprises ne peuvent que rarement payer plusieurs milliers d'euros d'un seul coup. (Coût habituel pour un site Web) Elles peuvent bien demander un crédit à leur banque, mais celles-ci sont actuellement frileuses (c'est partiellement vrai). Une idée qui me vient à l'instant : Ekinoxe Origin ne pourrait-elle pas accompagner le client dans la demande de prêt bancaire ? L'appuyer ?

L'abonnement est un mode de payement qui n'est pas imposé, mais beaucoup de clients le choisissent car ne peuvent payer un acompte de 30 % puis le solde de plusieurs milliers d'euros. (Méthode habituelle de payement d'une prestation informatique.) Ekinoxe Origin manque sans doute alors d'informer le client que le site ne lui appartiendra toujours pas à l'issue de l'abonnement, et que le site sera détruit si le client ne continue pas à payer. Stéphane m'a confirmé un doute : le site du traiteur Gaëtan Govaert sera supprimé si il ne paye pas après son abonnement de 400 euros par mois pendant 4 ans. Séverine et Gaêtan vont dont payer leur site au moins 19200 euros, alors qu'il n'en vaut pas la moitié. Heureusement qu'ils en sont contents et que leur chiffres d'affaire a augmenté de 75 % depuis son son lancement il y a un an.

Stéphane et moi avons rapidement évoqué la méthode "one-shot" pour la vente de ces contrats, mais je n'ai finalement pas réussi à savoir pourquoi cette prestation vendue en "one-shot" et payée en abonnement ne figure sur aucun des 3 sites Web d'Ekinoxe Origin. Nous avons surtout parlé du choix de l'abonnement comme mode de payement, et arrivés à une évidence : nous avons une divergence d'opinion. 

Je ne suis tout simplement pas d'accord avec cette méthode, qui enferme et rend le client dépendant de son prestataire et l'y enchaîne, avec la menace permanente de la destruction du site. Je ne parle même pas des tarifs que je trouve exagérés. Pour moi, un site se facture par un acompte de 30 % à la commande, suivi du solde de 70 % à la livraison. Le client devient alors propriétaire de son site et ne doit plus de comptes au prestataire.

Pourtant, le mode de l'abonnement est un élément-clé du modèle économique d'Ekinoxe Origin, Stéphane me l'a assuré. Il ne voit pas le mal à cela, c'est leur choix, et leur droit. Je leur ai toutefois conseillé de se séparer des société de leasing, car cette volonté de contrat tripartite complexifie inutilement leur contrat, et leur relation avec les clients. Cela agit également négativement sur leur cyber-réputation, puisque Ekinoxe Origin devient connue principalement pour ce type de contrat, qui n'est pas le modèle dominant dans la profession, et pas le plus pratique pour le client. Il n'est pas d'ailleurs pas non plus le seul type de contrat que propose Ekinoxe Origin. Ce choix de l'abonnement se retrouve juste que dans les locaux : les ordinateurs seraient loués, non achetés, ce qui procure aussi un avantage fiscal. 

Ekinoxe Origin dévoilera partiellement son SGC (développement interne) dans les semaines à venir, montrant son travail sur cet outil livré avec de nombreux sites. D'après les fonctionnalités décrites, certaines seraient inédites. Ekinoxe Origin n'est dévoile pas plus par peur de plagiat, ce que je comprend si les fonctionnalités décrites sont réelles. 

Ekinoxe Origin a lancé une FAQ, elle est ouverte aux remarques constructives et aux questions. Les plaignants peuvent aussi utiliser l'adresse de courriel relation@ekinoxe.com. Stéphane a vraiment tenu à dénouer la crise, mais j'attend de pied ferme des faits. 

Quelque soient les actions d'Ekinoxe Origin dans les semaines à venir, il y aura des rebondissements dans les jours qui suivent, annoncent plusieurs protagonistes. Dans tous les cas, cette société co-gérée avec Thomas Delaere et Laurent Guilbert, devra faire ses preuves.

dimanche 27 septembre 2009 11:03

Tentative d'intimidation par l'agence Ekinoxe Origin (Roubaix)

Édition 2 du 10 avril 2010 : l'agence surprenante le fait désormais un procès, avec la participation de plusieurs employé-e-s (Julie Tabard, Céline Leffondre, Sébastien Hoge, Hélène Coppe, Stéphane Swaenepoel, Frédéric Belaid, Jérémy Dupet) qui ont rédigé une attestation ou écrit un email.

 Édition mercredi 21 octobre : la version dupliquée de cette article [ Ekinoxe Origin m'envoit ses avocats (cabinet Jean-Pierre Vandamme)] a été supprimé suite à une demande d'Ekinoxe Origin (ou un de ses employés). Cette même personne a aussi demandé la suppression de la page Quelques explications sur la stratégie de référencement d'Ekinoxe Origin qui n'est qu'un duplicata de l'article du même nom sur ce blogue. Paperblog a refusé cette suppression car l'article leur semblait informatif et donc légitime.


Article d'origine

Jeudi soir, je reçois un courriel du cabinet Jean-Pierre Vandamme du Barreau de Lille. Ce courriel est vide ! Il comporte en fait deux pièces jointes, deux fichiers PDF. Ce cabinet a été mandaté par la société Ekinoxe Origin de Laurent GUILBERT, Thomas DELAERE et Stéphane DEJONGHE

Ce que Ekinoxe Origin (via Jean-Pierre Vandamme) me reproche

Il me reproche : 

  • d'être l'auteur de messages diffamatoires et injurieux contre Ekinoxe Origin,
  • de [me] [livrer] parallèlement à une véritable campagne de dénigrement contre Ekinoxe Origin, 
  • de "[publier] régulièrement, sur différents blogs, dont le [mien], des messages visant exclusivement la société [Ekinoxe Origin], et aux termes desquels [je tiens] des propos diffamatoires", 
  • d'indiquer que "de nombreux messages accuseraient l'entreprise d'arnaque à la vente de sites Web gratuits" dans l'article "Ekinoxe Origin enferme des clients dans un contrat abusif", 
  • de diriger contre Ekinoxe Origin chaque message que je créé, et de le dupliquer sur tous les blogues où j'interviens, 
  • d'"avoir manifestement  l'intention de dénigrer [Ekinoxe Origin] et de nuire à ses intérêts", 
  • d'avoir "également diffusé sur Friendfeed.com un message intitulé « Ekinoxe Origin emprisonne des clients dans un honteux contrat d'hébergement Web à prix astronomique »" qui revoit sur "[mon] blog lepost.fr".

Je vous passe les autres petits reproches. Il joint à son courrier une capture d'écran de la requête "ekinoxe lepost" sur Google "où l'on peut très distinctement relever le nom des différents sites sur lesquels [j'ai] laissé les même messages contre [Ekinoxe Origin]".

La demande du cabinet Jean-Pierre Vandamme Avocats SCP

Je suis mis en demeure de : 

  • "supprimer ces messages et pour l'avenir, de cesser ce comportement", 
  • "supprimer ou faire supprimer ces messages figurant sur la liste jointe à la présente [lettre], ainsi que sur [mes] sites Internet et blogs personnels et en particulier le site http://blogue.mathiaspoujolrost.net/perso/ et en tout état de cause, de cesser immédiatement tous propos diffamatoires, injurieux, dénigrants et/ou destinés à jeter le discrédit sur la société [Ekinoxe Origin]".

Sinon, il menace d'engager sans délai une procédure judiciaire, pour obtenir la suppression des messages, la condamnation à payer de dommages et intérêts, outre les frais de procédure. 

Ses arguments

Il met en avant l'article 29 de la Loi du 29 juillet 1881

Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.

Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure.

C'est à peu près tout. A part les faits de l'article cité juste avant, il juge ma conduite peu honnête et loyale, tout en faisant du zèle.

Ma réaction face à cette mise en demeure pour Ekinoxe Origin

D'abord, foncer lire les deux billets Blogueurs et Responsabilité Reloaded et Que faire quand on reçoit un courrier d'avocat chez Maître Eolas.

Bon, vous avez compris, MM.Thomas DELAERE, Stéphane DEJONGHE et Laurent GUILBERT n'aiment pas du tout mon billet de promotion pour celui "Le contrat qu’ont signé les clients d’Ekinoxe !" sur le blogue Memoria Tenere. Pourtant, mon billet "Ekinoxe Origin enferme des clients dans un contrat abusif" a été écrit comme un résumé de la situation, pour que ceux qui ne sont pas au courant de l'affaire Ekinoxe Origin puissent comprendre l'intérêt de la révélation des scans de contrats. Il n'a pas spécialement pour but de dénigrer ou accuser à tort.

Il faut bien s'entendre sur le terme "diffamation". Je l'entend surtout au sens de "accusation sans fondement ni justification, dans le but de dénigrer". Mon article regorge de sources et de références ! Ce n'est pas ce qui manque. Des sources diverses et variées dont le contrat "d'abonnement & de location de pack informatique et Internet", qui est authentique puisque Ekinoxe Origin n'a jamais contesté son authenticité (y compris interrogée directement), et qu'un autre client le confirme

Je m'efforce d'informer les consommateurs sur des pratiques honteuses de cette société. Les nombreux messages qui accusent l'entreprise d'escroquerie à la vente de sites Web dits gratuits existent bel et bien. Il y en a de nombreux dans les 5 pages du sujet "Appel à témoin contre Ekinoxe Origin" sur le forum lesarnaques.com, sans compter les témoignages de clients sur Internet, dont dans des articles de presse. Dans anciens employés témoignent eux aussi du côté obscur de certains dirigeants d'Ekinoxe Origin. 

Je n'indique pas que les dirigeants d'Ekinoxe Origin mentent. Ceci est un mauvais raccourci. J'ai dit "Notamment, deux intervenants "redactriceekinoxe" et "developpeurekinoxe" ont répondu sur plusieurs points mais en mentant parfois.". J'évoque ici l'affirmation du développeur selon lequel "EKINOXE Origin NE FAIT PAS DE SITE STATIQUE", alors que le contrat, page 4 (article 11) décrit que le site "comportera un minimum de 5 (cinq) pages fixes quand il ne comportera pas de base de donnée"... sans aucune limite supérieure précise (cela peut-être 8 pages, comme 12, 20 ou 50). Cela reste très flou. La rédactrice, quant à elle, affirme qu'Ekinoxe Origin attache "beaucoup d'importance à la satisfaction de [ses] clients", mais des témoignages font états de longues période d'attente pour du "SAV".

Je ne tente pas de "[me] livrer à une analyse du contrat [...] de manière à jeter le discrédit sur la société". J'en ai extrait quelques unes des nombreuses clauses que je trouve abusives. D'un côté, c'est bien sûr subjectif, mais d'un autre, je pense pouvoir facilement trouver des gens qui seront d'accord avec moi.

Je reconnais que la réputation d'Ekinoxe Origin a été entaché. Il y a aussi pu avoir de la confusion avec d'autres entreprises du même genre, telle Cortix. Ce pourquoi j'ai effacé des messages, notamment les relais sur Friendfeed et les captures sur Webshotspro. Si je retire des messages, c'est aussi parce que je n'ai absolument pas les moyens d'un procès contre Ekinoxe Origin. Mieux encore que la suppression de plusieurs messages, j'offre à Ekinoxe Origin la rédaction de son article sur Wikipédia. Mon article "Ekinoxe Origin enferme des clients dans un contrat abusif" constituera la base de cet article. Sur Wikipédia au moins, Ekinoxe pourra rectifier la vérité si cela n'est pas le cas, et surtout, elle ne pourra pas nous accuser (ceux qui dénoncent ses pratiques incriminées) de dénigrement, calomnie ou injure.

Je ne vais sûrement pas arrêter d'informer le public, elle ne gagne qu'une bataille, mais tout réfléchi, il aurait peut-être été mieux de n'être critiqué que sur des blogues, car les articles de Wikipédia sont quasiment inamovibles, et leur historique très précise disponible à tout moment. Je dois donc pour l'avenir me contenter des faits, juste les faits, mais suis convaincu que ces derniers suffiront à prévenir le danger, et rétablir la vérité.

Notes

D'autres personnes auraient été mises en demeure en même temps que moi. Visiblement, l'intimidation fait partie de mode de communication de Stéphane DEJONGHE, Laurent GUILBERT et Thomas DELAERE.

Selon Wikipédia, une mise en demeure doit comporter un délai d'exécution. Ce n'est pas le cas ici (pour le retrait de contenu), sauf pour la cessation de mes activités de contestation : immédiatement.

La prestation en question ici (site web offert en échange du payement de l'hébergement à prix excessif) ne figure sur aucun des nombreux sites web officiels d'Ekinoxe Origin.

Pendant ce temps là, Cortix a encore fait une victime. (Cortix "propose" la même prestation.)

Une association a été montée pour se défendre de telles sociétés : l'Association de Défense Contre les Abus des Prestataires de l'Internet (ADCAPI).

Ce billet a été édité le 28 septembre pour ne plus contenu de propos diffamatoires. 

mercredi 23 juillet 2008 11:22

L'histoire racontée par William Rookwood dans V pour Vendetta (avec sous-titres)

J'ai récemment revu le film "V pour Vendetta" de James McTeigue, sortie en 2005.

Ce film relate la lutte et la vengeance d'un homme contre le gouvernement dictatorial britannique. L'histoire se passe en 2038, la population vit dans la peur, qui a été créé dans le but de manipuler le peuple et a fait remporter les élections au parti conservateur.

L'un des faits marquants de cet homme est une prise d'otage dans le studio de la télévision, ce qui entraine une enquête. Au cours de celle-ci, l'inspecteur Finch va à la rencontre d'un informateur nommé William Rookwood. Durant ce rendez-vous, celui-ci explique à l'inspecteur comment le pays en est arrivé à sa situation actuelle.

Voici la vidéo :

Lire la vidéo sur DailyMotion, télécharger la vidéo (format Avi, 50 Mo). Version anglophone, sans sous-titre, sur YouTube.

Retranscription de la version francophone :

William Rookwood : Vous êtes assez près, Inspecteur.

Inspecteur Finch : On n'est pas enregistré.

Rookwood : Désolé, mais un homme dans ma situation ne survit qu'en prenant toutes les précautions.

Finch : Vous avez des infos à nous donner ?

Rookwood : Nan, vous possédez déjà les informations. Vous avez chaque nom, chaque date en tête.

Ce que vous voulez, ce qui vous fait défaut, c'est une histoire.

Finch : Une histoire peut être vraie ou fausse.

Rookwood : Je vous laisse en juger par vous-même, Inspecteur.

Notre histoire commence comme souvent les histoires de ce genre, avec un jeune politicien plein d'avenir.

Il est profondément croyant et aussi membre du parti conservateur.

Il est plus qu'obstiné de nature et n'a aucun respect pour le processus politique.

Plus il aquiert de pouvoir, plus son fanatisme s'affiche et plus ses partisans deviennent agressifs.

Finalement, son parti initie un projet spécial, au nom de la sécurité nationale.

Ce projet au début passe pour être de la recherche en arme biologique et se poursuit sans aucune limitation de budget.

Alors que son but véritable est le pouvoir.

Une hégémonie totale, absolue.

Le projet toutefois prend fin de façon brutale.

Mais les efforts des protagonistes n'ont pas été vains : une nouvelle technique de guerre est née, du sang de l'une des victimes.

Imaginez un virus, le plus terrifiant qui puisse exister et ensuite imaginez que vous et vous seul ayez le remède.

Si votre but ultime est le pouvoir, comment utiliser au mieux une telle arme ?

C'est ici que dans notre histoire le loup sort du bois.

C'est un homme, apparemment sans conscience, pour qui la fin justifie toujours les moyens.

Et c'est lui qui suggère que leur cible ne devrait pas être un ennemi du pays mais plutôt le pays lui-même.

Pour maximiser l'effet de l'attaque, trois cibles sont choisies : une école, une station de métro et un centre d'épuration.

Plusieurs centaines de morts dès les première semaines.

Journaliste : Nous apprenons que Three Waters a bien été contaminée.

Journaliste : Les autorités font tout pour endiguer l'extension meurtrière du virus.

Journaliste : ... a déclenché une vague de destructions dans les stations de métro.

Rookwood : Alimentées par les média, la peur et la panique se répandent rapidement, déchirant et divisant le pays, jusqu'à ce qu'enfin le but véritable devienne évident.

Avant les crises de Sainte Mary, personne n'aurait pu prédire le résultat des élections de cette année-là, personne.

Et ensuite, peu après les élections, voilà qu'advint un miracle.

Certains crurent à une intervention divine, mais c'était l'œuvre d'une compagnie pharmaceutique contrôlée par certains membres du Parti qui devinrent tous scandaleusement riches.

Un homme et plusieurs extrémistes ont droit à un procès, sont condamnés et éxécutés pendant qu'un mémorial est élevé pour canoniser leurs victimes.

Mais le résulat final, le vrai génie de ce plan était la peur.

La peur devint l'instrument suprême de ce gouvernement et le moyen pour notre jeune politicien de se faire nommer pour tenir le poste nouvellement créé de Haut-Chancelier.

Le reste, comme on dit, appartient à l'Histoire.

Finch : Avez-vous des preuves de ce que vous avancez ?

Rookwood : Je suis toujours en vie, ça vous suffit ?

Finch : Très bien. Nous voudrions vous mettre sous protection policière, M. Rookwood.

Rockwood : Oh, je n'en doute pas un instant.

Mais si vous voulez cet enregistrement, vous devez faire tout ce que je vous demande.

Mettez Creedy sous surveillance 24h/24. Quand je serai sûr qu'il ne peut pas se gratter le nez sans que vous le sachiez, je vous recontacterai.

D'ici là, ciao.

Finch : Rockwood !

Pourquoi vous n'avez pas parlé avant ?
Qu'est-ce que vous attendiez ?

Rookwood : Mais vous, Inspecteur. J'avais besoin de vous.

Télécharger le fichier de sous-titres (format SubRip, 7 Ko).

Merci à l'outil embed2object pour la validation du code HTML de la vidéo.

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