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mercredi 2 mai 2012 18:04

[Traduction] Lettre d'information DuckDuckGo n°26

Voici une adaptation de la lettre d'information du moteur de recherche DuckDuckGo, édition du 1er mai 2012 :

Chers(ères) ami-e-s de DuckDuckGo,

Today we're launching an open source platform that enables developers to create instant answer plugins on DuckDuckGo: http://duckduckhack.com/. I've written up an announcement on my blog here: http://ye.gg/ddh

As you probably know, we already have a lot of goodies: https://duckduckgo.com/goodies.html & https://duckduckgo.com/tech.html. DuckDuckHack allows programmers to create new plugins, and we hope that over time these open source contributions will dwarf our internal goodies.

There are probably more than a few searches that have frustrated you. Perhaps some of these results could have been improved by great instant answers. Please feel free to share such ideas on http://ideas.duckduckhack.com/


--
Gabriel [Weinberg] ~ fondateur de DuckDuckGo, http://ye.gg/

Lien vers la source (en anglais).

vendredi 23 octobre 2009 23:57

Opération manipulation par Stéphane Dejonghe ? ! [affaire Ekinoxe Origin]

Édition 27 décembre 2011 : suite à la faillite du 2 novembre 2010, les gérants ont créé de nouvelles boîtes : Darwin distribution (devenue Kimura), Guilbert Consulting, Kreatic... et pas tous seuls : Elody Knox, Damien Poulain, Hélène Coppe, Jérémy Dupet, Caroline Hemelsdael...  y contribuent.

Édition lundi 14 décembre 2009 : la situation semble ne pas s'être améliorée. Ekinoxe Origin continue visiblement les démarchages surprenants et la vente de certains sites à Parfip. Je lance un blogue sur ces agences Web "particulières". Si vous souhaitez témoigner, veuillez plutôt me contacter par ce blogue (celui cité juste avant). Fin de l'édition.


J'ai reçu ce matin un appel de la part de Stéphane Dejonghe, co-dirigeant et commercial chez Ekinoxe Origin. il a bien compris que je suis capable de leur nuire.

Pendant 1h25, nous avons discuté de divers points de l'affaire Ekinoxe Origin. Il a aussi compris que les premières réactions face aux critiques ont été abusives. 

Il m'a livré plusieurs informations qui manquent à notre connaissance (nous les protagonistes réguliers) pour mieux comprendre les critiques. C'est gentil de me les donner, mais il aurait été préférable de les publier plus tôt, en contexte, en répondant personnellement aux critiques, sur le Web. En voici quelques-unes : 

  • Les contrats d'abonnement de site ne sont pas des contrats entre deux partis, ce sont des contrats tripartites : le client, le prestataire, et une société de leasing (crédit-bail) sont liés.
  • Ekinoxe Origin n'exclut pas totalement de laisser le droit à la diffusion du contrat, mais la société de leasing s'y oppose actuellement. 
  • Le contrat révélé sur Memoria Tenera date de plusieurs années, il n'est plus d'actualité. Un nouveau est en cours d'élaboration.

Le nouveau contrat d'abonnement n'arrivera pas avant plusieurs semaines, en raison de sa complexité :

  • il doit être valable pour la France et la Belgique, 
  • il faut nouer un partenariat avec une société de leasing, 
  • il sera même traduit en néerlandais.

Stéphane le reconnaît lui-même, ce contrat est une usine à gaz ! 

Il s'explique sur le choix de la vente par abonnement. Ce mode de facturation est un facilité de payement proposée notamment aux commerçant, artisans et PME. Ces petites entreprises ne peuvent que rarement payer plusieurs milliers d'euros d'un seul coup. (Coût habituel pour un site Web) Elles peuvent bien demander un crédit à leur banque, mais celles-ci sont actuellement frileuses (c'est partiellement vrai). Une idée qui me vient à l'instant : Ekinoxe Origin ne pourrait-elle pas accompagner le client dans la demande de prêt bancaire ? L'appuyer ?

L'abonnement est un mode de payement qui n'est pas imposé, mais beaucoup de clients le choisissent car ne peuvent payer un acompte de 30 % puis le solde de plusieurs milliers d'euros. (Méthode habituelle de payement d'une prestation informatique.) Ekinoxe Origin manque sans doute alors d'informer le client que le site ne lui appartiendra toujours pas à l'issue de l'abonnement, et que le site sera détruit si le client ne continue pas à payer. Stéphane m'a confirmé un doute : le site du traiteur Gaëtan Govaert sera supprimé si il ne paye pas après son abonnement de 400 euros par mois pendant 4 ans. Séverine et Gaêtan vont dont payer leur site au moins 19200 euros, alors qu'il n'en vaut pas la moitié. Heureusement qu'ils en sont contents et que leur chiffres d'affaire a augmenté de 75 % depuis son son lancement il y a un an.

Stéphane et moi avons rapidement évoqué la méthode "one-shot" pour la vente de ces contrats, mais je n'ai finalement pas réussi à savoir pourquoi cette prestation vendue en "one-shot" et payée en abonnement ne figure sur aucun des 3 sites Web d'Ekinoxe Origin. Nous avons surtout parlé du choix de l'abonnement comme mode de payement, et arrivés à une évidence : nous avons une divergence d'opinion. 

Je ne suis tout simplement pas d'accord avec cette méthode, qui enferme et rend le client dépendant de son prestataire et l'y enchaîne, avec la menace permanente de la destruction du site. Je ne parle même pas des tarifs que je trouve exagérés. Pour moi, un site se facture par un acompte de 30 % à la commande, suivi du solde de 70 % à la livraison. Le client devient alors propriétaire de son site et ne doit plus de comptes au prestataire.

Pourtant, le mode de l'abonnement est un élément-clé du modèle économique d'Ekinoxe Origin, Stéphane me l'a assuré. Il ne voit pas le mal à cela, c'est leur choix, et leur droit. Je leur ai toutefois conseillé de se séparer des société de leasing, car cette volonté de contrat tripartite complexifie inutilement leur contrat, et leur relation avec les clients. Cela agit également négativement sur leur cyber-réputation, puisque Ekinoxe Origin devient connue principalement pour ce type de contrat, qui n'est pas le modèle dominant dans la profession, et pas le plus pratique pour le client. Il n'est pas d'ailleurs pas non plus le seul type de contrat que propose Ekinoxe Origin. Ce choix de l'abonnement se retrouve juste que dans les locaux : les ordinateurs seraient loués, non achetés, ce qui procure aussi un avantage fiscal. 

Ekinoxe Origin dévoilera partiellement son SGC (développement interne) dans les semaines à venir, montrant son travail sur cet outil livré avec de nombreux sites. D'après les fonctionnalités décrites, certaines seraient inédites. Ekinoxe Origin n'est dévoile pas plus par peur de plagiat, ce que je comprend si les fonctionnalités décrites sont réelles. 

Ekinoxe Origin a lancé une FAQ, elle est ouverte aux remarques constructives et aux questions. Les plaignants peuvent aussi utiliser l'adresse de courriel relation@ekinoxe.com. Stéphane a vraiment tenu à dénouer la crise, mais j'attend de pied ferme des faits. 

Quelque soient les actions d'Ekinoxe Origin dans les semaines à venir, il y aura des rebondissements dans les jours qui suivent, annoncent plusieurs protagonistes. Dans tous les cas, cette société co-gérée avec Thomas Delaere et Laurent Guilbert, devra faire ses preuves.

samedi 22 août 2009 21:20

Quelques explications sur la stratégie de référencement d'Ekinoxe Origin

Édition mercredi 21 octobre 2009  : Ekinoxe Origin (ou un de ses employés) est intervenue auprès de Paperblog pour demander la suppression de la version dupliquée de cet article. Paperblog a refusé cette suppression car l'article leur semblait informatif et donc légitime. Merci à Paperblog.

Édition mardi 18 janvier 2011 : Ekinoxe Origin a été liquidé le 2 novembre par le Tribunal de Commerce de Roubaix. Une nouvelle société, Darwin Distribution, présente de troublantes ressemblances avec Ekinoxe Origin. Je n'en ai pas complètement fini avec cette société ni les autres agences "one shot", puisque je n'ai pas été dédommagé de mon assignation en référé par Ekinoxe Origin, et que 'ai encore deux procès en cours contre Xxxxxxx.

Fin des éditons.  


Ekinoxe Origin est une agence Web basée à Roubaix, avec des implantions dans d'autres villes. 

Parmi les prestations classiques, elle offre des sites gratuitement à des PME ou TPE, moyennant des frais d'hébergement de plusieurs dizaines d'euros par mois. C'est là qu'arrive le problème : pour un tel (petit) site, 50 € par an suffisent à financer l'hébergement ! 

Les clients qui ont souscrit à cette offre ne sont pas spécialistes du Web, et ont cédé au discours commercial des vendeurs. Leur méthode est éprouvée : RDV chez le prospect, présentation de l'offre (parfois sous forme de "partenariat"), argumentation pendant plusieurs heures (jusqu'à 3 ou 4), demande de signature du contrat le jour-même. 

Souvent, le prospect signe sur-le-champ, sans se rendre compte le lendemain qu'il payera 100 € ou 200 € (parfois plus) chaque mois pendant... 24 à 48 mois. Coût total du site Internet : plusieurs milliers d'euros alors que la création d'un tel site ne coûte pas plus de 1500 euros ! Etant donnée que c'est une prestation contractée dans un cadre professionnel, le client ne bénéficie pas de délai de rétractation. 

De nombreuses personnes se sont faites avoir par cette méthode, n'ayant pas pris la peine de lire le contrat à tête reposée, hors de la vue du commercial, et sans se donner de délai de réflexion. Elles commencent alors à se plaindre, utilisant souvent le mot "arnaque" pour désigner l'opération commerciale dont elles ont été la cible. Elles forment aussi des associations ou collectifs. 

Malheureusement pour elles, les rédacteurs de ces récits (notamment des blogueurs) et leurs hébergeurs, la société Ekinoxe Origin veille de façon très attentive sur son nom. Elle (Ekinoxe Origin) n'hésite pas à demander la modération (la censure) de contenu qu'elle juge calomnieux, voire à faire fermer des sujets de discussion ou blogue entier

Ce billet traite de la stratégie de référencement utilisée par la société pour contrer ces plaintes en ligne, principalement sur la requête "ekinoxe arnaque". Il est destiné en premier lieu à un lectorat non technicien ni technophile. Précision : malgré les nombreuses plaintes en justice, la société n'a jamais été condamné (pour l'instant). 

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